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  1. Section d'Agriculture

Les principales améliorations de la neuvième édition – Cours aux agriculteurs 2021

Créé par Rudolf Isler | 07/07/2021 |   Cours aux Agriculteurs
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Nouveau titre

Le titre du livre a été changé, il s’intitule désormais comme on l’a toujours appelé de façon courante :
COURS AUX AGRICULTEURS
Fondements spirituels de la méthode bio-dynamique

Les éditeurs

La neuvième édition a été complètement retravaillée. Les éditeurs en sont Hans-Christian Zehnter, Rudolf Isler, Ueli Hurter, Martin von Mackensen et Albrecht Römer.

Un coup de chance hors du commun

Des notes sténographiques prises par Lilly Kolisko, qui était présente pendant le cours à Koberwitz et à Breslau, ont pu être retranscrites en écriture standard. Il en est ressorti des variantes du texte, des améliorations et des compléments. Une importance particulière revient à des notes fragmentaires prises lors d’une discussion entre les agriculteurs, probablement le 8 juin à Breslau, au cours de laquelle le comte Carl von Keyserlingk et Ernst Stegemann se sont heurtés. Malgré cet incident, une résolution a été adoptée, par laquelle les agriculteurs présents ont créé un cercle d’expérimentation et un groupe de travail. Cette résolution a été lue à l’auditoire et commentée par Carl von Keyserlingk le matin du 11 juin à Koberwitz. Le texte in extenso de cette résolution se trouve dans la sténographie nouvellement déchiffrée de Lilly Kolisko et est imprimé pour la première fois dans la neuvième édition, aux côtés des notes fragmentaires prises lors de la discussion. S’en est suivie l’allocution de Steiner que l’on trouvait déjà dans les éditions précédentes du Cours aux agriculteurs. Après cette allocution, Steiner a donné la troisième conférence, dans laquelle il se réfère à ce qui venait d’être dit dans l’allocution.

D’autres passages qui manquaient jusqu’à présent

Dans la deuxième série de réponses aux questions, celles du 13 juin, un assez long passage sur les grossissements au microscope manquait jusqu’à présent – passage qui a été transmis aussi bien dans le script typographique que chez Kolisko. Steiner y critique l’opinion selon laquelle on pourrait se faire un jugement sur les choses en les grossissant fortement.
Une discussion sur les bouchons de liège, qui est transmise dans le script typographique, manquait aussi jusqu’à présent. Le botaniste Alfred Usteri voulait savoir si l’on pouvait utiliser les bouchons tirés de l’écorce du chêne-liège, que l’on peut facilement se procurer, pour la préparation d’écorce de chêne. Steiner répondit que non ; il avait en effet précisé que ce devait être l’écorce du chêne pédonculé (quercus robur). Après le cours, il y eut toutefois des incertitudes sur ce point. Dans une liste de questions, on lit que Steiner aurait dit quercus rubra. Celui-là, le chêne rouge, est chez lui dans la partie est de l’Amérique du nord, mais a été planté en Europe dans les parcs et aussi dans les forêts. Chez Kolisko on lit quercusrubor (au lieu de robur?).

Ne pas combattre les micro-organismes

D’autres modifications importantes ont été faites grâces aux sténographies de Lilly Kolisko, dans lesquelles malheureusement les quatre premières conférences manquent encore. Nous n’avons pu avoir accès qu’à des notes fragmentaires sur la première et la deuxième conférence, et sur le début de la troisième conférence. Dans la cinquième conférence, on pouvait lire jusqu’à la huitième édition que dans l’engrais, le fait d’introduire ou de favoriser le développement des micro-organismes (bactéries, etc) importait peu, mais qu’il valait encore mieux les combattre. Chez Kolisko au contraire, on lit que la lutte est elle aussi à proscrire.

« Spontanément comme la pluie »

Jusqu’à la huitième édition, on pouvait lire que le ciel donne de la silice, du plomb, du mercure et de l’arsenic spontanément « avec la pluie ». Kolisko au contraire a noté « comme il donne la pluie ».

Revigorant ou régénérant?

Au sujet de la préparation d’achillée millefeuille, il est dit dans le texte qu’elle aurait un effet « revigorant » (« erfrischend »). Chez Kolisko on lit « régénérant » (« auffrischend »). Dans ce mot il y a l’idée de renouvellement, de réparation.
Un large appareil de notes et la mise en évidence de toutes les variantes du texte
De la première à la huitième édition, les éditeurs précédents avaient introduit un grand nombre de corrections et d’ajouts au texte. Mais seule une petite partie d’entre eux étaient présentés de façon explicite. Dans cette neuvième et nouvelle édition, toutes les modifications par rapport à la huitième édition sont rendues visibles par des crochets et expliquées en notes. De cette manière et grâce à d’autres indications, on peut suivre les modifications successives du texte en remontant jusqu’à la première édition. Le lecteur est donc mis en situation de pouvoir se faire sa propre opinion sur les nombreuses variantes du texte. Il y a plusieurs passages familiers que nous avions admis tels quels jusqu’à présent, mais dont nous savons maintenant, en raison d’un examen plus attentif des sources dont nous disposons, qu’ils sont incertains ou même faux. Par ailleurs il y a des passages que nous pouvions considérer jusqu’à présent comme douteux, car il ne sont pas facilement compréhensibles, mais dont nous devons maintenant admettre, au vu des sources, qu’ils ont été correctement transmis. Il y a de très nombreuses petites améliorations du texte que nous ne mentionnons pas ici, mais qui sont importantes pour une étude précise des conférences. Les notes et les indications relatives aux personnes, aux contenus et aux passages peu clairs du texte sont beaucoup plus développés dans la neuvième édition.

Cosmique-qualitatif ou cosmique-quantitatif ?

A la fin de la deuxième conférence, Steiner explique que dans chaque individualité agricole, le nombre d’animaux et les espèces animales qui en font partie s’établit de lui-même, et de même les plantes qu’ils mangent et la quantité de fumier qu’ils donnent. C’est ce qu’il appelle une analyse cosmique-qualitative. C’est ainsi que cela apparaît dans le texte du livre. Mais des notes de Lilly Kolisko ont été retrouvées dans lesquelles elle rapporte la notion d’ « analyse cosmique-quantitative ». Cosmique signifie qu’il s’agit d’une analyse sur le plan éthérique et spirituel, relative aux conditions de la vie ; il peut s’agir ici de la qualité du fourrage et de l’engrais. Ou bien l’idée est que cette analyse permet d’établir la quantité d’animaux qui correspond au domaine. On peut donc considérer les deux versions transmises comme possibles et sensées.

Signes du zodiaque ou constellations ?

Dans la sixième conférence, Steiner a parlé des signes du Scorpion et du Taureau. Mais par les indications plus précises qu’il a données, il est clair qu’il ne parlait pas des signes astrologiques du zodiaque, mais des constellations réellement visibles dans le ciel. Dans la troisième série de réponses aux questions, celles de ce même jour, le 14 juin 1924, il dit ceci : « Pour la situation de Vénus par rapport au Scorpion, on prendra en considération toute situation où Vénus apparaît dans le ciel, avec derrière elle la constellation du Scorpion. Vénus doit être derrière le Soleil. »* Cette situation, il l’a qualifiée aussi de « haute conjonction de Vénus et du Scorpion », et voulait probablement désigner par là la conjonction dite supérieure, dans laquelle Vénus se trouve derrière le Soleil.

Effets directs et indirects des planètes

Entre la deuxième et la sixième conférence il y a une contradiction, sur laquelle les éditeurs de la neuvième édition attirent l’attention sans pour autant pouvoir résoudre clairement les problèmes qui l’accompagnent. Dans la deuxième conférence, il est dit que la Lune et les planètes proches Mercure et Vénus agissent avec le Soleil directement sur les parties de la plante situées au-dessus du sol, tandis que les planètes éloignées Mars, Jupiter et Saturne agissent avec le Soleil après que leur influence ait été recueillie par la terre. Dans la sixième conférence c’est exactement l’inverse : les planètes lointaines agissent directement sur les parties de la plante situées au-dessus du sol, et la Lune agit avec les planètes proches Mercure et Vénus indirectement après que son influence ait été recueillie par le sol terrestre. Les points importants de ces affirmations sur les effets de la Lune et des planètes sur les plantes ne sont pas remis en cause par cette contradiction !

Comment les racines trouvent-elles la bonne quantité de sels ?

Dans la huitième conférence on peut lire ceci : « Portons notre attention sur la racine : la racine qui se développe habituellement à l’intérieur de la terre, et qui est pénétrée grâce à l’engrais par une force du Moi en devenir ; elle absorbe cette force du Moi en devenir par toutes les facultés qu’elle doit à sa situation souterraine, et elle est soutenue dans son absorption de cette force du Moi quand elle parvient à trouver la bonne quantité de sels dans la terre. » On pourrait d’abord penser que la cause et l’effet ont été ici confondus et que l’on pourrait corriger le sens en remplaçant le mot « quand » (« wenn ») par « pour que » (« dass »). Mais dans la sténographie de Lilly Kolisko aussi, c’est clairement le mot « quand » (« wenn ») qui est employé. Au lieu de changer la phrase, nous devons réfléchir à la façon dont la racine peut trouver la bonne quantité de sels ? Il ne peut pas s’agir d’apporter des sels dans le sol par des engrais minéraux. Il faut plutôt penser, dans l’esprit de la cinquième conférence, que les préparations confèrent à la plante la force de trouver elle-même les substances dont elle a besoin. Ainsi un examen attentif du texte nous pousse à comprendre cette affirmation d’une autre manière que celle que l’on aurait d’abord pu supposer.

Annexes

L’ouvrage comporte des reproductions en couleur des dessins esquissés au tableau, des feuilles de notes récemment retrouvées de Rudolf Steiner, des extraits de l’allocution aux jeunes tenue le 17 juin 1924 à Koberwitz, un glossaire détaillé et beaucoup d’autres choses encore.

Rudolf Steiner, dessin au tableau de la conférence du 10 juin 1924 , Cours aux agriculteurs, GA 327, Rudolf Steiner Archiv, Dornach, Suisse
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